Chaque secteur de spécialisation confronté à son propre lot de risques. Cela explique la préoccupation des professionnels à se souscrire aux assurances qui les couvrent efficacement. Certains secteurs sont à risque d’une telle ampleur que la loi impose aux entreprises et travailleurs exposés une souscription à l’assurance adaptée sous peine de sanction.
Professions à risque : profil des concernés
Les risques encourus par certains secteurs d’activités sont de plus gros dégâts avec une plus forte probabilité d’apparition que chez d’autres secteurs. Suite à une analyse exhaustive par l’État de cette problématique, une liste des professions à risque a été dressée. La loi impose aux travailleurs concernés d’aménager une protection adaptée. En d’autres termes, une lacune d’assurance engendre des sanctions pénales en fonction des dommages provoqués au niveau matériel ou aux individus.
Sur la liste figure entre autres, les professions médicales et les professions de construction des infrastructures. Comme le dénote le site Assurément Pro, une catégorie de profession répertoriée signifie une contrainte d’assurance à la globalité des postes y figurant. Pour le personnel médical par exemple, il s’agit des médecins, des sages-femmes, des infirmiers et tout auxiliaire médical.
Les assurances professionnelles exigées par la loi
Toute entreprise en activité sur le territoire français est contrainte à une souscription à quatre catégories d’assurances. Une contrainte provenant de la loi. Y figurent notamment l’assurance éventuels dommages matériels.
Hormis les assurances forcées, les entreprises sont libres d’étendre leurs garanties. Il peut s’agir d’une protection contre des aléas jugés moins risqués. Ce sont des garanties optionnelles.
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